Notre chère Monoko et ses manies..

Monoko ouvrit la porte de la salle à manger.Elle passa sa tête, regarda à droite, puis à gauche...
Monoko commença à réfléchir à voix haute.
- Ouf, personne.. Je préfère rester seule étant donné que Yusuki peut lire dans mes pensées..

Elle installa un tapis de sol par terre.
- Aaah, ça fait longtemps que je n'ai pas fait de yoga, ça va me relaxer..

Elle fit quelques échauffements.

- C'est la première fois que je fais du yoga dans une salle à manger... C'est agréablement calme ! Je devrais venir en faire ici plus souvent ..!!

Satsuke entra dans la salle à manger puis vu Monoko dans une drole de position ce qui le perturba un peu. Il bafoulia alors : Oh ! Oups... Déso... Désolé. Je croyais que... Mais... C'est la refectoire ?

Puis il reconnu la jeune fille et dit, plus allaise : Tu es la fille de la laverie qui m'a appris à me servir d'une machine. *Mince je me souviens plus de son nom, ça craint !!* Tu te souviens de moi... Tu m'avais fait un bisou... Il fit alors un grand sourire qui ce voulait adorable. Qu'es ce que tu fais ? Ton copain t'a plaqué quand tu lui as dit que tu l'aimais c'est ça ? Il s'aprocha alors d'elle et s'assit sur son tapis, et la prit par les hanches et avec son air dragueur il dit : Je peux le renplacer si tu veux !

Un intru entra dans la salle à manger et bégailla quelques mots étranges :

"Oh ! Oups... Déso... Désolé. Je croyais que... Mais... C'est la refectoire ?"
*Qui vient me troubler ainsi ??? Hey, je reconnais cette voix ..*

Monoko se tourna, elle vu Satsuke, et se retourna.
*Ah, le fameux mec de la laverie.. Héhé tu pourais tromper Anzu avec ce mignon garçon*

Elle se tourna à nouveau vers lui et le fixa avant qu'il ne lui dise :
"Tu es la fille de la laverie qui m'a appris à me servir d'une machine."
*Hihi j'ai fait un heureux*

Il ajouta :
"Tu te souviens de moi... Tu m'avais fait un bisou..."

Monoko eut l'air surprise et rougit.
*Oula.. J'avais oublié !*

Elle fit comme si elle venait de comprendre qui il était.
- Ah ! Oui ! Satsuke-kun !!

Le jeune homme ajouta :
"Qu'est-ce que tu fais ? Ton copain t'a plaqué quand tu lui as dit que tu l'aimais c'est ça ?"

*Hou.. je devait être trop bavarde ce jour-là..*
Monoko ne dit rien, elle avait complètement zappé cette histoire.

Satsuke s'aprocha de Monoko et s'assit sur son tapis. Il n'y eut que quelques secondes pour qu'il la prenne par les hanches et dise d'un air dragueur :
"Je peux le remplacer si tu veux !"

Monoko qui était très sensible hurla :
- Aaah ! Ca ne va pas !!
Elle reprit son soufle et cria :
- Anzu et moi sommes encore ensemble et il m'aime lui aussi !

Satsuke n'avait toujours pas retiré ses mains des hanches de Monoko. Elle les prit et les déposa délicatement à côté.
Elle se calma et dit :
- Tu ne perds pas une seconde, toi !

Quand Satsuke attrapa les hanches de Monoko, elle cria, et affirma qu'elle sortait encore avec Anzu : Domage... *Je m'en doutais de toute façon !!* Puis elle ajoutta qu'il ne perdait pas une sconde, alors il répondit : C'est parce que mon temps est compté... Et parce qu'il n'aimait pas ce genre de paroles qu'il lui arrivait de dire, car il avait tendance à être trop franc, il ajoutta : Toi aussi ton temps est compter, mais tu ne veut pas le réalisé, c'est tout !!

Alors il se relava : Si c'est pas "ton Anzu" que tu fuit, c'est qui ? Ou alors, tu es carément bizarre de trainé aussi tard dans la salle à manger pour faire du Yoga !!

Satsuke, qui passait son temps à draguer et qui n'avait honte de rien dit des paroles qui à ce stade-là ne choquaient plus Monoko.

"Domage..."
*Si tu le dis..*

Puis après qu'elle n’eut dit qu’il ne perdait pas une seconde il lui dit :
‘‘C'est parce que mon temps est compté...’’
*Hein ? Il est malade ? Il va mourir ? Ou alors dit-il cela parce qu’il vit sa vie au jour le jour ?*

Puis bizarrement il ajouta :
‘‘Toi aussi ton temps est compter, mais tu ne veut pas le réalisé, c'est tout !!’’
*Quoi je ne veux pas le réaliser ? Non mais j’hallucine là ou quoi ? Haha comme toujours*

- Non mais je vis ma vie, ça ne se fais pas de dire ça, surtout quand tu ne connais pas ma vie ni mon passé !! J’ai pas toujours eu du bonheur, tu n’as pas le droit de me dire ça alors que tu ne vis pas cette maladie atroce !!!
Monoko s’arrêta net. Elle regarda Satsuke puis regarda le sol sur le côté. Elle eut des remords sur ce qu’elle venait de dire, ce devait rester un secret. Bien heureusement, elle n’avait pas dit de quelle maladie ‘‘atroce ’’ elle faisait allusion.

Satsuke, lui, se relava et dit :
‘‘Si c'est pas "ton Anzu" que tu fuis, c'est qui ? Ou alors, tu es carrément bizarre de traîner aussi tard dans la salle à manger pour faire du Yoga !!’’

*Hum.. ben je dois être bizarre..*
- Tu dois me trouver complètement idiote.. Pour être honnête.. Je suis venue ici dans l’espoir de me tranquilliser, ça fait longtemps que je n’ai pas fais de yoga et ça me manquait.. Ici c’est calme et.. à cette heure-ci je me disais qu’il n’y aurait personne .. Mais maintenant que tu es là, reste donc ! D’ailleurs, toi, pourquoi es-tu ici ‘‘aussi tard’’ comme tu dis ?

Monoko semblais être vexé qu'il lui ai fait une allusion comme quoi elle ne vivait pas sa vie à fond. Et bien qu'ils changérent de sujet, aprés sa réponce il revint sur le sujet, car un blanc c'était formé.

Je me trompe peut-être quand je dis que tu vis pas ta vie, comme si chaque jour était le dernier. Mais, trés peu de personne le font réellement. Même moi, en disant ça, je mens. Si je pensais réelement que aujourd'hui serais le dernier : Je ne serais pas ici, dans cette résidence. J'irais plus en cours depuis longtemps... Je ferais plus gaffe.

Et il continua : Tu as tout à fait raison. Je ne connais pas ta vie, ni ton passé, bien que pour moi, le passé n'as pas d'importance. Et je ne vis surement pas "cette" maladie atroce... Mais j'en vis une autre... Alors, si t'as envis de parler, te retiens pas. Je suis débile, et peu délica, mais je suis quand même capable de comprendre pas mal de chose.

"Je me trompe peut-être quand je dis que tu vis pas ta vie, comme si chaque jour était le dernier. Mais, trés peu de personne le font réellement. Même moi, en disant ça, je mens. Si je pensais réelement que aujourd'hui serais le dernier : Je ne serais pas ici, dans cette résidence. J'irais plus en cours depuis longtemps... Je ferais plus gaffe. " répondit Satsuke

Monoko ne répondit pas, elle resta muette. Ca n'en valait pas la peine.
*J'ai rien à lui dire là.. Moi je vis ma vie, sauf que je me préoccupe des concéquences de mes actes donc je ne fait pas tout à tort et à travers..*

"Tu as tout à fait raison. Je ne connais pas ta vie, ni ton passé, bien que pour moi, le passé n'as pas d'importance. Et je ne vis surement pas "cette" maladie atroce... Mais j'en vis une autre... Alors, si t'as envis de parler, te retiens pas. Je suis débile, et peu délicat, mais je suis quand même capable de comprendre pas mal de choses."

- Je ne parle pas de ce genre de choses, je n'aime pas que les autres aient pitié de moi. Mais tu peux le parler de ta maladie, je n'aurais pas pitié de toi je te le promet.

Monoko lui répondit qu'elle ne souhaiter pas lui en parler car elle n'aimait qu'on est pitié, mais que lui il pouvais lui en parler.

Pitié ? C'est la pitié que tu ne veux pas recevoir des gens ? Moi, c'est les privilléges. Tu sais quand tu dis que tes malades, les gens sont au petits soins pour toi, et puis plus question de te taquiner, de t'énerver, de te frapper. On te traite plus de "sale débile" !! Pourtant, que je sois malade ou pas, je suis toujours débile, et j'ai toujours une téte à claque. Enfin en toutcas, moi je n'aurais jamais pitié de toi. Et je continurais à être un sale con avec toi !! Et il lui fit un clin d'oeil, regarda de haut en bas la jeune fille, et lui sourit.

Bon, je vais te laisser. Je voudrais pas te géner. Et il commença à partir. Ce qui est vraiment chiant, c'est que les gens considèrent toujours les malades comme des montres horible ou des objets en porcelaines qu'il ne faut absolument toucher car on pourais les casser.

Monoko rattrapa Satsuke par la main et devint plus douce.

- hé ne pars pas. Tu ne m'as toujours pas parlé de ta maladie ! Je te jure de te parler de la mienne ensuite.
*Satsuke-kun et moi avont un fardeau en commun.. Je ne me suis jamais sentie aussi proche de quelqu'un ..enfin autant que de Anzu-kun.. Tu n'es qu'une sauvage*

Monoko rattrapa Sasuke, aparament elle voulais savoir ce qu'était la maladie, mais aparament aussi qu'elle mourait d'envis de partager sa maladie avec quelqu'un qui la comprendrais.

Quoi ? Mais, euh... *Je suis perdu là !* Tout à l'heure tu voulais pas en parler ! *Bon elle a changé d'avis, peut-être par ce qu'elle a pas l'habitude de rencontrer des gens qui ont comme elle une maladie. * Ok, mais avant j'ai deux question. Première, tu fais partie des "monstres horibles" ou des "Objets en porcelaines" ? *Pour que me prépare mentalement... Et pour savoir à qui je parle.* Et la deuxième... *J'ai pas de deuxième !!* Elle est en fonction la réponce à la première.

Satsuke ne s'attendait surement pas à cette réponse. Monoko le sentit troublé.

"Quoi ? Mais, euh...Tout à l'heure tu voulais pas en parler !Ok, mais avant j'ai deux question. Première, tu fais partie des "monstres horibles" ou des "Objets en porcelaines" ?Et la deuxième... Elle est en fonction la réponce à la première."

- Et bien.. je ne sais pas trop comment la qualifier.. Elle n emet pas ma santé physique en danger.. par contre elle a un poids énorme sur ma santé mentale.. Mais je ne suis pas folle !! Pas d'inquiétude ^^" ..

*Et lui ?*

*Problème qui met en danger sa santé mentele ? euh... ça me parle pas trop.* Ouais... Bon, moi, ma maladie c'est... courante, et pas grave du tout !! Vraiment, pas de quoi s'en faire... Même si je fais parti des... "objets en porcelaine"... *Je déteste tournée en rond*. Je suis cardiaque. Il fit un grand sourire de débile à Monoko et enchaina : A toi. De quoi souffre-tu ?

Puis il s'assie sur l'une des chaises, et attendit la réponce de Monoko qui bafoulliait. Apparament, cette maladie, elle l'avez tendance à la cacher. Contrairement à Satsuke qui l'aivait toujours plutot dis, sans forcément le crier sur tout les toits. Il en parlait, quand ça venait sur le tapis. Pour encourager Monoko à parler il ajoutta : Allez. Je suis sure que c'est pas SI grave que ça...

"Ouais... Bon, moi, ma maladie c'est... courante, et pas grave du tout !! Vraiment, pas de quoi s'en faire... Même si je fais parti des... "objets en porcelaine"... Je suis cardiaque. A toi. De quoi souffre-tu ?"

- Et bien moi.. Je.. enfin..
Ce fut les mots que Monoko bafouilla.. Elle n'avait pas l'habitude d'en parler si librement.

"Allez. Je suis sure que c'est pas SI grave que ça..." dit Satsuke
- Non ça n'est pas "grave".. C'est dûre à vivre mais ce n'est pas grave..

Elle attendit un instant.
- Voilà, je suis schizophrène.. Mais je n'ai pas une double personnalité. J'ai juste une voix que j'entends dans ma tête, elle me dit des choses, jamais gentilles bien évidemment... Mais je ne l'écoute jamais, je n'écoute jamais les ordres qu'elle me donne..Je suis plus forte que ça.

*Pauvre malheureuse haha*

Heureusement qu'elle espliqua un peu ce que c'était car Satsuke avant qu'elle l'esplique ne savait ce qu'était la maladie de la "Schizophrènie". Elle dit, que la voix ne lui était pas agréable, et qu'elle lui parlait, mais qu'elle ne l'écoutait pas. Elle présisa qu'elle n'avait pas de deuxième personnalité.

*Si en quelque sorte quand même, vu que tu as une voix indépendante dans ta téte.* Et... C'est surement con ce que je vais te dire mais... Si tu l'écoutais... Enfin je suposse que tu l'écoutais au début, pour savoir qu'elle était là. Mais, si... Tu l'écoutais... Lui parler... T'intérésser à elle... Et non pas la considérer comme une simple voix, mais comme... *Ce que je dis est vraiment débile... Elle va me prendre pour un taré !!* Comme une vrai personne ! Quelqu'un qui a des envis, des gouts, des sentiments !!

Monoko fut profondément blessée par les paroles de Satsuke. Elle se mit à courir en pleurant.

- Comment peut-il dire une telle chose alors qu'il ne connait pas cette maladie et ce qu'elle entraine.

Elle eut l'impression que la personne en qui elle espérait le plus de compréhension la laissait tomber lachement.

Ce que dit Satsuke eut un effet dramatique sur Monoko qui se mit à courire et à fondre en larme. Satsuke ne comprenait rien. Vraiment rien. Pourquoi se mettait-elle en colére ? Se qu'il avait dit était-il mal ? Méchant ? Il n'en savait rien. Vraiment rien.

Mais c'est dans l'incertitude qu'il se mit à la poursuite de Monoko hurlant : Attends ! Monoko !! Attends !! Je suis désolé ! C'est pas ce que je voulais dire...! Mais attends Monoko !! Je me suis mal exprimer...!
Ces paroles lui venait sans qu'il y ait à réfléchir. Il prétendait s'être mal exprimer, pourtant, ceux qu'il avait dit était bien ceux qu'il pensait.

Monoko ne s'arrétait pas. Elle se dirigeait alors vers un escalier. Il l'avait alors presque rattraper plus que environ deux ou trois mètres quand... il s'écroula, hurlant : MONOKO !!

Monoko, profondément blessée courait, courait, courait et courait encore.
Satsuke lui courait après. Elle prit très rapidement l'escalier quand, avec la vitesse, elle trébucha et tomba des escaliers sans comprendre ce qu'il lui arrivait.

Satsuke, visiblement terrorisé hurla : MONOKO !!

Monoko roula dans les escaliers pour finir par tomber en bas des escaliers.
Elle devint alors inconciente. Une flaque de sang s'étandait autour de son crâne. Son crâne avait sûrement heurté une marche.

Monoko venait de faire une chute. Elle était alors tout prés de lui, inconciente. Sans essiter un seul instant, il attrappa son téléphone portable et appela son médecin en demandant une ambulance.

Il regarda alors si le coeur de la fille batté bien, et si elle respirait corectement. Heureusement, tout aller bien à ce niveau là. Mais ce n'était pas le cas pour sa téte. La jeune fille perdé beaucoup de sang.

Il enleva alors sa chemise, et la mis sous la téte de Monoko, pour tanté de calmé l'émoragie. La jeune fille était toujours inconsciente. Et tout en attendant l'ambulance, il mit la main sur son coeur (celui de Satsuke cette fois), et comme il le craiyait, il avait un ritme, plus qu'irrégulier. *D'abord la cource, puis ce stress... Elle va m'achevé, oui !*

Quelques minutes plustard, Monoko et Satsuke était alors recouvert du sang qui ne cessé de couler de la téte de Monoko, l'ambulance arriva enfin. On entendit une voix féminine criait : Satsuke ! Où es-tu ?!
Satsuke répondit donc en hurlant aussi : Ici !

Alors la femme accouru, et voyant la jeune fille à terre, elle dit surprise : Quoi ? Mais c'est pas toi ? Il répondit alors : Euh... Non. *Je ne lui ai jamais dit que c'était moi !* Puis il ajouta : Son coeur bat normalement, et elle respire correctement. Quand au sang perdu... Je dirais un litre... Peut-être plus... Et... elle a fait une chute... à cause de moi...
La femme avait alors reprit son calme, et dit : Ok. On l'emporte. Super Satsuke... Et son groupe sangin, tu le connais ?
Il repondit d'un nair navré tout en regardant Monoko se faire transporté jusqu'à l'exterieur : Non aucune idée. Mais... Es-ce que je peux venir ?

Monoko, malheureusement toujours inconsciente fut posée sur un lit d'hopital quand elle se réveilla brusquement.
Elle fut paniquée, elle sentit une douleur à la tête. Elle regarda autour d'elle, des personnes la fixaient, en lui posant des questions.
A côté, une femme parlait à Satsuke.

Monoko n'entendit pas leur conversation. Elle entendit simplement :
"Non aucune idée. Mais... Es-ce que je peux venir ?"

Elle était perdue..
*Où..Où suis-je ? Que m'arrive-t-il ?*

Elle eut le temps avant qu'on ne la transporte dans la camionnette de dire une volonté.
- Sat...Satsuke-kun...Viends avec moi, ne me laisse pas seule...
Et elle perdit à nouveau connaissance.

Satsuke avait demandé à la femme si il pouvait venir tout en les suivant, et avant qu'elle ne puisse répondre Monoko murmura : " Sat...Satsuke-kun...Viends avec moi, ne me laisse pas seule..."
Alors Satsuke sourit légérement en pensant : "Si elle parle c'est que ça va !". Et la femme dit : Ok Satsuke, tu peux venir. Mais je travail là. Ok ? Sans même répondre Satsule, rentra dans l'ambulance.

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